sur les chemins

15 octobre 2009 – 11 h 12 min

C’est dingue, je n’ai bu que deux coupes de champagne, mais j’ai mal aux cheveux!!!

Alors ce matin, j’ai eu envie d’écouter de la musique qui fait du bien, toute tranquille … Quelque chose que l’on peut écouter plusieurs fois de suite tellement ça vous berce, tellement c’est accueillant … Quelque chose qui agirait comme un massage …

J’ai cherché dans ma discothèque et je suis tombée sur une K7 (je ne l’ai qu’en K7!) que je n’avais pas écoutée depuis trrrrèèèès longtemps … Purée, quelle madeleine!!

John Lee Hooker and friends

Mazette, je savais déjà quel morceau j’allais écouter. Celui en duo avec Van Morrison, THE bluesman irlandais : « I cover the waterfront ».

C’est dingue, je me souvenais de chaque note, chaque intonation, altération, modulation des deux voix, la délicatesse de chaque petite échappée d’une des guitares (durée, à peine une seconde), de toutes les paroles, et de l’atmosphère de l’époque à laquelle je l’écoutais chaque jour.
Londres.
1991-1992.

Blues?

Certainement le style musical qui me touche le plus et que je n’ai pas fini d’explorer.

Blues?

Ah non! Certainement pas! Ce matin, je suis toute heureuse de ce cadeau que je me suis fait!

Impossible de trouver les paroles de cette chanson-là (Frank Sinatra ou Billie Holiday ont une chanson avec le même titre, mais ce ne sont pas les paroles que j’entends ici).

Quoi … C’est l’histoire d’une fille, ou d’un mec, qui attend que son amoureux(se) revienne par le bateau, il/elle fume, il/elle boit du café, et il/elle va sur le quai à l’arrivée de chaque bateau.

Dans le duo, quand Van Morrison chante, John Lee Hooker fait des commentaires. Par exemple, quand Van Morrison parle du soleil dans le ciel, John Lee Hooker dit « Vaut mieux le mettre là » …

Assez de bla bla. J’espère que vous venez de passer un excellent moment!

15 octobre 2009

histoire d’une date historique (ben tiens!)

14 octobre 2009 – 1 h 00 min

Chris, née un 26 Septembre, expliquait que beaucoup de gens avaient cette date de naissance, et que si on était un minimum observateur, en remontant le calcul de la gestation, tout ça nous amènerait au 31 Décembre /1er Janvier. Bref … les Septembriens fin de mois n’étaient jamais que des sous-produits de la cuite du Nouvel An!

Et bé moi, je suis un sous-produit dis-si-mu-lé!! En effet, abrutie par le champagne que ma môman ingurgita pendant une partie de sa grossesse (elle n’avait pas cette banale envie de fraises), je me suis endormie dans son bidou. Je devais naître, devinez donc … vers le 26 septembre. Une fois que toutes les mamans cuitées du 1er Janvier 68 furent (re)passées dans la salle de travail, on se rendit compte qu’il en manquait une à l’appel. Des messieurs en blouse blanche vinrent chercher ma môman à la maison : « Allez, Madame Jones, faut y
aller maintenant, vous ne pouvez plus vous débiner« .

Et c’est comme ça que je gardai le signe astrologique prévu (qui me va comme un gant), mais ne naquis que le 14 octobre … avec un petit surplus de poids qui ne m’a jamais quittée 😉 et une fâcheuse tendance à être toujours en retard…

Zoyeux Zanniversaire à moi et à ma mère et à mon père aussi.

*
*
NB : j’ai également un goût franchement prononcé pour les bulles de champagne, et ce soir débute ma saison Champagne, comme d’autres
commencent leur saison touristique. Ma haute saison prendra fin … le 1er Janvier!