musique pour l’hiver qui n’en finit pas …

C’est vrai quoi … ça n’en finit pas, ces crachats crachins bien fraîchouilles, ces ciels bas du front, ces pelouses humides et ces arbres bourgeonnants dégoulinants. Marre de cette piscine avachie au-dessus de la ligne haute tension, qui se remplit sans cesse sans jamais avoir le temps d’évaporer (et donc, de s’évaporer), du chauffage qui continue de tourner au collège (sachant que ma salle est la plus chaude du collège, qu’on y meurt … en fait … toutes fenêtres ouvertes du 1er septembre au 30 juin, n’importe quoi!).

Alors, un peu de musique épicée qui vous balance du chaud et du gai de la première à la dernière note

AMADOU et MARIAM (avec Manu Chao) : Sénégal Fast Food

Plusieurs morceaux de cet album réalisé en collaboration avec Manu Chao sont un vrai régal pour les pieds et le popotin … une chouette énergie, joyeuse et rythmée.
Déjà, j’aime beaucoup les sonorités africaines en général, et avec la touche Manu Chao  –  que j’adore  –  ben … j’adore

Et une petite ritournelle amoureuse sur le même album … miam …

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8 avril 2010

farfelingue

Je tiens aujourd’hui à partager avec vous le talent d’Oliv‘, auteur d’une légende de la rosée comme vous n’en avez jamais lue; un exercice de style brillant et jouissif dont la lecture, personnellement, m’a remonté le double menton jusqu’au front! (et mes bretelles linguistico-littéraires, au passage …)

Avec sa permission, je vous livre le début du texte. En cliquant sur le dernier mot, vous pourrez illico poursuivre cette incroyable histoire, et faire durer le plaisir en naviguant entre ses poèmes (« Une seconde après », le magnifique « La fuite ») et ses textes qui réveillent les neurones par le regard légèrement décalé qu’il pose sur le monde (« Real Life Tetris »), ou encore sur la langue (« Les Z’expressions : prendre ses jambes à son cou »). Ce ne sont là que quelques exemples…

Luna Nuitombée qui arrivenait de se réveillever, yeugardait éberluahurie la minustite montaline qu’elle avait l’habicoutume à chaque crépusbrunes d’honorésaluer. Il y avait quelque chose de brindezingue, un truchose tout à fait inhabifférent dans le décor. C’est alors qu’avec horreufaction, elle remarquaperçu que sa montaline préféraimée était toute désertisèche! Toute l’eaumidité avait été goulubue par

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8 avril 2010
(précédemment publié le 10 septembre 2008)