des fois je fais les choses à moitié …

… d’autres fois, pas du tout

J’adore monter à cheval, j’aime l’odeur de l’animal, sa puissance, et l’ivresse de la communion de deux êtres à sang chaud, crinières au vent …
Nan mais … vous voyez ce que je veux dire …

J’ai appris à monter à cheval lors d’un été du côté d’Arcachon, voilà des lustres, puis suis remontée à l’occasion, la meilleure ayant été en compagnie d’Indiens Navajos en plein Monument Valley alors qu’un splendide orage violet-rouge-noir cernait la zone et nous menaçait de ses grands doigts électriques et furibards, et de son souffle tiède mais colérique. Un moment complètement hors du temps et d’une intensité rarement égalée …

Quand j’ai voulu reprendre des cours dans le centre équestre à 100 mètres de chez moi (une aubaine en banlieue parisienne  –  au bord des pistes d’Orly, en l’occurrence), on m’a d’emblée chargé les bras de tout le matériel de monte et envoyée dans le box d’un équidé pour le brosser, le sangler, toussa. Et là, d’une j’ai découvert que l’on ne m’avait jamais vraiment appris à m’occuper d’un cheval, et encore moins à installer la selle et tout ; de deux, du coup, je m’y suis prise comme un manche, le cheval s’est agacé et j’ai attrapé peur … Une peur qui ne me quitta plus ensuite. Super fastoche de reprendre l’équitation dans ces conditions, et donc … j’abandonnai, franchement pas aidée, je voudrais le souligner, par les gens du centre équestre … Je veux même pas savoir pourquoi.

Au printemps 2000, je me suis inscrite à un stage d’équitation UCPA en Andalousie et j’ai bien expliqué mon « petit souci » à la monitrice, qui s’est montrée hyper pédagogue, assurée et rassurante, et malgré quelques heurts avec la jument que l’on m’avait attribuée (et qu’on voulut me retirer, mais j’insistai pour apprendre avec elle du début à la fin, sinon, je ne voyais pas l’intérêt), je redécouvris les joies du galop sur une longue plage déserte de Tarifa, à quelques mètres des rouleaux de cette mer qui va et vient entre Maroc et Espagne. Un pur bonheur …

*

Image trouvée là : http://www.lagrenouillere.camargue.fr/pages/promenades.html ; merci!

*

Forte de cela, j’acceptai alors une sortie en forêt de Rambouillet avec trois potes.
Beuh …
On me confia Orion avec pour seuls conseils :
– Attention, ne le laissez pas en tête, il file comme Pégase … (ce qui m’arrangeait, vu que quand même, je n’avais guère de prétentions cavalières)
– C’est le printemps, ils vont tous vouloir bouffer de l’herbe plutôt que se promener.

Je compris bien vite le deuxième conseil, et tentai d’empêcher Orion de s’arrêter tous les 5 mètres pour brouter. Accrochée aux rênes de tous mes petits muscles alors qu’il avait redressé la tête, je n’avais plus la moindre fibre musculaire pour résister au grand hochement qu’il fit pour atteindre l’herbe tendre et goûteuse … Ce qui fait que je passai par-dessus sa crinière, les jambes en V, tête la première, et atterris effectivement sur le crâne. Je compris notamment l’intérêt de porter une bombe en de telles circonstances …
Tout le monde pouffa discrètement tout en m’aidant à me relever et à rattraper le cheval.

Après une pause pique-nique au bord d’un chemin, nous nous engageâmes dans un chemin-ornière, extrêmement boueux suite aux nombreuses pluies récentes … et barré d’une grosse branche à hauteur d’homme au bout de quelques centaines de mètres. J’étais la dernière, et observai comment firent les autres pour passer l’obstacle ; chacun prenait la branche en main, la soulevait et d’un geste grâcieux, la passait par-dessus la tête pour la lâcher enfin. Un truc tout à fait logique et simple à réaliser.
Sauf qu’il semble que j’aie quelques menus problèmes de coordination. Je ne lâchai pas la branche, ce dont Orion était parfaitement inconscient, qui continua son chemin tandis que je prenais une position horizontale  –  sur le dos  –  fort dangereuse quand il n’y eut plus de cheval sous mes fesses. ……..
J’imagine que ça a fait « SPLOOSH » tandis que je poussai un cri histoire d’alerter mes compagnons. Il fallut à ces derniers plus de cinq minutes pour se remettre d’un fou rire auquel je participai à peine, vérifiant que malgré tout, mes membres étaient toujours coordonnés et regardant, dépitée, mon beau T-shirt tout blanc maculé de boue noire …
Ma seule consolation fut que j’avais cassé la branche dans l’incident, épargnant à de futurs promeneurs les mêmes désagréments …
On me demanda quand même si je souhaitais poursuivre la balade.
Euh … vu que nous étions sur le chemin du retour, je répondis d’un « OUI! » tout à fait optimiste et souriant …

Alors que nous approchions de la fin, quelqu’un suggéra un galop et tous se tournèrent vers moi, inquiets. Je dis que je voulais « aussi galoper, merde, tout va bien!! »
Mais là, le premier conseil me revint vite en mémoire … Orion tentait par tous les moyens de passer devant, alternant, de ce fait, trot et galop, une arythmie très difficile à gérer, j’en perdis un premier étrier, puis le deuxième … me sentis glisser sur le flanc gauche de l’animal que, décidément, j’encombrais … et finis donc par une chute latérale gauche en poussant un « Aaaaahahhahaa » plus guère convaincu …

Je remontai quand même, tout le monde au pas, personne n’osant plus trop rire, ma propre tête farcie de questions et réponses en tous genres, mais trop endolorie pour vouloir y prêter attention.

La seule et unique fois où je remontai à cheval après ça, c’était sur l’étalon espagnol de mon ex. Un cheval entier, donc, et … comment dire … plein de caractère. Tout se déroula à peu près correctement (j’avais assisté au débourrage du mâââle chez des amis éleveurs d’Espagnols et de Lusitaniens, très doués –  Magali est en lien à droite, elle peint les chevaux magnifiquement!!  – … et connaissais tous les trucs à dire et faire, ou ne pas dire et faire). N’empêche, j’eus peur malgré tout … Et c’en fut fini de ma belle histoire avec les chevaux …
En plus, faut voir comme certains destinés à la balade touristique massive sont traités dans la région, pauvres, t’as pas envie d’aller les embêter …

*

ALSIRO fait l’étalon (??)

*

*

6 mai 2009

16 commentaires

  1. Posté le 6 mai 2009 à 20 h 43 min | Permalink

    Après la version audio, cette version écrite est très agréable, merci 😉
    Je la lis et entends un petit accent du midi bien sympathique par derrière

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    mariev répond:

    la version audio était au passé composé avé ung petite acceng, la version écrite a gagné en passé simple … mais perdu en mimes et mimiques … ça doit être marrant d’avoir les deux versions

    répondre

  2. Posté le 6 mai 2009 à 20 h 44 min | Permalink

    Faut pas m’en vouloir Mariev : je te promets que je ne ris jamais du « malheur » des autres, du moins pas en direct, mais là, désolé, je suis plombé de rire parce que j’imagine les scènes qui viennent de se succéder. Es-tu bien sûre d’avoir fait le tour de toutes les chutes, le tour de toutes les positions ? s’il en reste que tu n’aies pas encore »testées », refait nous un article du même tonneau. Merci, c’était renversant ! bonne soirée Mariev.

    répondre

    mariev répond:

    ravie, morsli … si tu as ri, c’est que j’ai réussi à écrire (ce que j’ai un peu de mal à faire ces temps-ci), et pi t’as le droit, c’est la rubrique « Bridget Jones », c’est étudié pour …

    nan, j’ai fait le tour de mes positions chevalines … mais pas encore perdu espoir de remonter sur un dada un jour, car il est vrai qu’il me manque le flanc droit, le plat-ventre, le décollage express … ou plus simplement, l’odeur, le chaud, le vent …

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  3. Posté le 6 mai 2009 à 22 h 10 min | Permalink

    Boire et déboires ! … tu ne devrais peut-être que boire !
    J’ai fait de belles chutes en mon temps, oubliées pour la nostalgie et le désespoir de jamais pouvoir remonter et galoper à cause d’un dos fragile. La communion avec un cheval, quel pied ! Restait la moto, puis plus rien, juste les souvenirs.
    Je me le suis promis, dans la prochaine vie, je ferai du cheval toute ma vie, de la plongée et j’apprendrai à voler (moi qui ne crois en rien, un comble…)
    Merci pour le récit fort en images, trop drôle mais tout de même quel dommage ces mauvaises expériences !

    répondre

    mariev répond:

    oh, comme c’est dommage!
    bah … il faut bien avouer que cette journée de chutes fut drôle, surtout que je m’en suis bien sortie, alors autant en rire
    il me reste deux ou trois trucs à faire avant la prochaine vie

    répondre

  4. Posté le 6 mai 2009 à 22 h 20 min | Permalink

    Sacrée Bridget Jones à qui j’ai pensé dans le train avec un épisode pas mal du tout …
    haut les coeurs !

    répondre

    mariev répond:

    celui-là, ou un autre épisode?
    oui, oui, « à coeur vaillant rien d’impossible », mais … euh … faudra me mettre en confiance pour que je retente l’expérience, et comme j’ai d’autres idées en tête …

    répondre

  5. Posté le 6 mai 2009 à 22 h 27 min | Permalink

    Le cheval est souvent une passion.
    Yves 

    répondre

    mariev répond:

    ben d’accord, ce n’est pas une passion, mais ça m’embête bien cette histoire
    tiens, c’est comme les échecs … j’adore ça, mais je suis archi-nulle!! ben j’y joue quand même …

    répondre

  6. Posté le 6 mai 2009 à 23 h 18 min | Permalink

    Hihi comme Pandora j’entends encore l’épisode raconté dans la voiture, alors que je stressais de peur de pas avoir mon train! Du coup le lire à tête reposée c’est pas mal non plus 😉

    répondre

    mariev répond:

    quand j’y pense, ce fut vraiment très très juste … !
    ouf!
    en plus, je lâchais le volant pour mimer, t’as vraiment dû angoisser!

    répondre

  7. Posté le 7 mai 2009 à 9 h 41 min | Permalink

    Bon .

    Mis à part la crise de rire , j ‘ai compris qu’un truc : tu es allée trop vite !…c’est sur !

    Fiston n° 1 possède un hara … zavec un instructeur français qui s’appelle Bernard! …qui t’en dirait des vertes et des pas mures …

    C’est ça ….avec ce back ground de virtuose , monter un étalon …

    …ça m’étonne pas que tu hésites à recommencer …..LOL

    répondre

    mariev répond:

    trop vite … ou trop par à-coups … le cheval nécessite une constance et une fidélité évidentes …

    je pense qu’auprès de Magali, je pourrais ré-apprendre très utilement ; avec son mari, ils élèvent quelques espagnols (magnifiques!!) , et avant de me laisser monter l’un d’entre eux, il est clair qu’ils me feraient longer les bêtes pendant de longues heures. J’aime vraiment leur manière d’aborder ces animaux, ils (Magali et Alain) sont doux, fermes, attentifs et hyper cohérents. J’ai appris beaucoup avec eux.

    Alsiro a eu de la chance de passer entre leurs mains, vraiment (vu son propre parcours) … après, je crois que c’est surtout l’ex qui a un peu déconné … ce cheval est devenu un splendide espagnol clair, pomelé (rien à voir avec la seule photo qu’il me reste de lui) … j’adore les chevaux espagnols (équilibre, rondeur, grande élégance)

    alors … je recommencerai, si, si … enfin, disons plutôt que SI je devais recommencer, ce serait avec Magali

    répondre

  8. Posté le 7 mai 2009 à 10 h 04 min | Permalink

    Petit coucou de retour, la tête encore un peu en décalage horaire…

    répondre

    mariev répond:

    ou peut-être que t’as pas enlevé le masque, et que tu nous fais une petite intox au CO2
    bisous, Annie, à très bientôt!!

    répondre

  9. Posté le 7 mai 2009 à 11 h 41 min | Permalink

    Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à ta dernière chute, excuse-moi … Tu devrais t’y remettre mais dans un endroit peu être plus sympathique.
    Ma
    plus jeune est une vraie mordue de poney et de chevaux. Je me souviens d’une fois à ses débuts (c’était un cours où ils apprenaient à tomber) un orage d’une rare violence s’est abattu sur le centre équestre et son poney était totalement affolé par le bruit et le vent. Elle est tombée ce jour là un nombre de fois incroyable, à tel point qu’une autre maman à côté de moi m’a dit « Votre fille ne va jamais revenir la semaine prochaine au cours ! » Et bien, elle est revenue et c’est vraiment sa passion.

    répondre

    mariev répond:

    ma préférée reste celle de la branche, vraiment … et c’est la succession des trois en l’espace de quelques heures qui reste très drôle (du moment que je n’en eus aucune séquelle)

    mais je ne pense pas être mordue comme ta fille, et là … prépare-toi!!

    répondre

  10. Posté le 7 mai 2009 à 16 h 18 min | Permalink

    La photo en haut … la jeune cavalière en bord de plage …. j’aurais pu l’avoir faite….je loue chaque été dans le cotentin une petite maison dans les dunes à 50 mètres de la plage…et à 200 mètres d’un élevage de chevaux (je ne sais pas si c’est l’appellation appropriée )…..ils se baladent et font des galops en bordure de vagues tôt le matin et en fin d’après midi jusqu’au coucher du soleil…le spectacle est fascinant…magnifique..je ne me lasse pas de les regarder à l’oeil et derrière mon objectif…..ce sont surtout des cavalières….une femme sur un cheval….je trouve le duo magnifique…la grande classe…ça me fait complètement craquer….(fantasme secret et inavoué…;-)))

    répondre

    mariev répond:

    le Cotentin … j’aime!!! (y ai passé 6 de mes 10 premières années, en fait), c’est d’une douceur et d’une générosité …

    je comprends … et je peux te dire que SUR un cheval, c’est encore plus savoureux, sais-tu?

    en revanche, j’ai compris … pour ma part, je suis surtout souvent sous, devant ou derrière le cheval … vachement moins fantasmagorique 😉

    répondre

  11. Posté le 7 mai 2009 à 17 h 39 min | Permalink

    Dans la ferme, le cheval est un animal inutile qui consomme sans rendre ce qu’on dépense sur lui. Toutefois, mon papa allait en offrir un à nous ses enfants pour le Noël, et puis une petite semaine avant, l’enfant des voisins s’est tué lors d’une chute. Finie, l’histoire d’un cheval. Jusqu’aujourd’hui, je ne supporte pas bien l’odeur, c’est un des seuls animaux de la ferme qui pue à mes narines. Oui, je sais, c’est trop… bête …

    Alors, toi, pas blessée lors de la chute ? J’espère que non, c’est pas drôle, ce genre d’accident.

    répondre

    mariev répond:

    bah bah bah … ah oui, tu as grandi dans une ferme et tu vis aujourd’hui dans une ferme, mais je sourcille toujours quand on parle de « l’utilité » d’un animal … un chien, un chat, ne sont pas plus utiles qu’un cheval ou un âne, à ce titre, et pourtant …
    je vois un traumatisme ancien, cela dit … c’est vrai qu’on peut mourir sur / à cause d’un cheval, dommage que vous n’ayiez eu la joie d’en avoir un à la ferme
    moi, j’aimerais bien avoir un petit âne dans mon jardin, mais je crains qu’il ne broute la piscine!! (et pi, c’est trop petit pour lui)

    nan, j’ai eu une grande chance, je suis tombée de nombreuses fois (dont ces trois-là), mais je n’en ai aucune séquelle … enfin, apparemment
    avec le recul (quelques heures), j’ai trouvé l’épisode franchement marrant!!

    répondre

  12. Posté le 7 mai 2009 à 21 h 08 min | Permalink

    Dès le titre de ton article, j’ai directement pensé à ma petite soeur (15 ans), qui est une mordue de chevaux elle aussi! Mais quand je dis mordue, c’est réellement mordue, et parfois je l’envie d’être passionnée à ce point!
    En tout cas, que d’aventures, ta belle histoire n’est peut-être pas terminée après tout, il n’est jamais trop tard pour remonter en selle! En plus ça fera de nouveaux des histoires sympas à nous raconter sur ton blog !

    répondre

    mariev répond:

    en effet je crois que la belle histoire n’est pas terminée
    et … oui, je comprends que tu envies ta soeur, personnellement, je suis trop dispersée pour faire un truc à fond avec passion, c’est un autre genre de passion, au fond!!

    répondre

  13. Posté le 7 mai 2009 à 22 h 07 min | Permalink

    Monter à cheval c’est domestiquer son animalité, accepter notre dualité, assumer notre modestie.
    Tu as bien sûr senti que tu étais sur le cheval parce qu’il le voulait bien et que, mouvement d’humeur ou pas, cette place était précaire en fait.
    Le cadeau qu’il te fait, il faut toujours le mériter, sauf à le contraindre, par la punition et le dressage.
    Mais tu n’es pas de ces gens là …
    J’ai le souvenir d’un cheval ‘entier’ qui, en s’approchant de femelles accueillantes, avait tenté de me virer pour taper un triple galop afin de s’occuper des curieuses !

    répondre

    mariev répond:

    oui, ce sont des choses dont j’ai vraiment pris conscience au contact de Magali et Alain, qui m’ont fait penser, par certains aspects de leur pratique, aux « murmureurs » ; mais c’est aussi pour ça, en effet, que j’ai refusé qu’on me retire la jument suite à un incident : le cheval n’est pas un vélo. Si incident il y a eu, j’en étais responsable en grande partie, restait à trouver le moyen qu’elle et moi nous accordions, moi en continuant d’apprendre et d’observer.

    et alors? tu as fait des kilomètres accroché à la crinière de cet étalon? t’es tombé? tu as « maîtrisé » la bête?

    répondre

  14. Posté le 7 mai 2009 à 23 h 29 min | Permalink

    et puis il paraît que ça rend les fesses fermes !

    répondre

    mariev répond:

    aah … ceci explique cela!!!

    répondre

  15. Posté le 8 mai 2009 à 0 h 57 min | Permalink

    Effectivement, là tu n’as pas fait à moitié. Bravo pour avoir surmonté ta « peur » (plutôt une sorte de crainte non ?)
    Et ta sortie en foret de Rambouillet est rocambolesque à souhait ! 😀

    P.S. : Tu as raconté cette histoire au volant d’une voiture en mimant et conduisant en même temps ? fichtre !

    répondre

    mariev répond:

    crainte / peur … ça dépend, y’a quand même des fois où j’ai eu la trouille, point. Mais pas ce jour-là, à Rambouillet (mais peut-être que j’étais sonnée dès la première chute!)

    oui monsieur, je suis une fille!! Je peux faire plusieurs choses en même temps!! Ha! 😀

    répondre

  16. Posté le 8 mai 2009 à 18 h 00 min | Permalink

    c’est drôle, c’est à peu de choses près la même expérience que j’ai vécu il y a une quinzaine d’années ! depuis je ne remonte plus sur un cheval. Et tu sais le plus marrant ? j’ai épousé une ancienne cavalière professionnelle ….

    répondre

    mariev répond:

    hé!hé! il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rencontres … chouette!!

    répondre

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